RASSEMBLEMENT POUR UNE INITIATIVE CITOYENNE
" Indépendance ",
" honnêteté ", " désintéressement
", " service des citoyens ", " sens de
l'intérêt général ", "
souci du bien public " : ces mots nous sont resservis
à chaque élection car ils sont le message de
base du candidat qui part en campagne. Ils sont le bréviaire
du professionnel pour lequel la politique est avant tout produit
de marketing et affaire de communication. Ils sont les mots
qu'il faut dire, le temps de l'élection, avant de retourner
à sa chapelle partisane, à ses stratégies
d'appareil, à ses crocs-en-jambe pour éliminer
le camarade potentiellement rival ou à ses copinages
pour mieux préparer la prochaine échéance
électorale et mieux asseoir son pouvoir, quand ce n'est
pas s'assurer un avenir douillet sur le dos du suffrage universel.
Les citoyens ont de plus en plus
de mal à admettre ce type de comportement qui est la
négation du politique parce qu'il interdit le débat
républicain où tout doit pouvoir se dire clairement.
Ils veulent - et ils n'ont pas tort - que les mots - même
et surtout quand ils sont beaux et bien dits - soient suivis
par les actes. Parce qu'ils ont été souvent
déçus, ils sont trop souvent conduits à
ne voter que pour sanctionner ou éliminer ou, carrément,
en désespoir de cause, s'abstenir.
En l'état de ce divorce de
plus en plus profond entre l'électeur et sa représentation,
nombre de citoyens ont renoué avec le débat
et l'action politiques à travers le milieu associatif,
lequel n'a jamais été aussi riche et aussi fort
- au moins entre deux élections.
Mais en quoi y aurait-il une fatalité
interdisant aux citoyens de prolonger le débat à
l'occasion d'élections, qui sont un des temps forts
de la vie de la République et qui devraient pouvoir
le demeurer ? Pourquoi, alors qu'entre deux élections
municipales ils ont été parfois bien seuls à
mener le combat politique, les citoyens devraient-ils se mettre
entre parenthèses à l'approche des élections
?
C'est cette réflexion qui
a conduit des citoyens, au nom de la conception qui est la
leur d'une République qui ne peut être que citoyenne
et sociale, à refuser le diktat des techniciens de
la chose publique et à s'engager lors de ces prochaines
élections municipales derrière Joseph Ciccolini
et Max Cavaglione.
Depuis plusieurs années,
ces deux hommes ont eu à cur, l'un en dehors
des partis et à l'extérieur du conseil municipal,
le second au sein du groupe d'opposition municipale et à
l'intérieur du conseil, de mettre en harmonie avec
leurs actes leur passion pour la République. Pour que
Nice - enfin - entre en République, pour que cessent
les privilèges qui gangrènent la ville, pour
que les citoyens retrouvent le droit à la parole.
C'est parce qu'il perçoit
clairement la crise du politique que traduit ce constat, c'est
parce qu'il pense que la reconquête de la confiance
des citoyens dans la politique est un impératif fort
que le Mouvement des Citoyens, avec Danielle Deminatti, a
décidé de participer à cet engagement.
C'est pour ces mêmes raisons
que le Parti Radical de Gauche a décidé d'apporter
son soutien.
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Permanence |
15
rue Pertinax
06000 Nice
Tel. 04 93 13 84 54
email: joseph.ciccolini@libertysurf.fr |
Heures
d'ouverture:
10h/12h - 16h -19h30
Le week end, merci de prendre rendez vous en nous téléphonant. |
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Joseph
Ciccolini |
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Max Cavaglione |
Avocat au Barreau de Nice et président
du Bien Public, association laïque et républicaine.
Ses engagements sont connus :
- l'assistance apportée aux plus démunis : qu'il s'agisse
des sans-abri refoulés au Mont-Chauve ou qu'il s'agisse des
locataires de l'Office HLM dénonçant l'explosion des
charges, la vétusté et parfois même l'insécurité
des appartements, les passe-droits, la ghettoïsation du logement
social ou encore la gestion déplorable des dirigeants de
l'OPAM,
- le désir d'une justice plus transparente et plus équitable,
- la défense d'un service public auquel les majorités
gouvernementales, de droite comme de gauche, semblent ne plus croire,
alors qu'il constitue le ciment de la République : que ce
soit au côté des postiers du centre de tri ou des marins
de la SNCM,
- un rejet viscéral de l'idéologie de l'extrême
droite, jusques et y compris lorsque celle-ci cherche, à
l'image de Jacques Peyrat à Nice, à prendre les habits
d'une droite extrême,
- la dénonciation de la main-mise de Vivendi sur la ville
lorsqu'il a été question de lui remettre les clés
d'Acropolis.
Pour Joseph Ciccolini, la devise républicaine
" Liberté, Egalité, Fraternité "
est une philosophie de vie et constitue l'enjeu politique de demain.
Refusant l'arrogance et l'impunité des puissants, la République
doit en finir avec le clientélisme et les mafias de tous
poils qui ont mis en coupe réglée la ville. Refusant
les idées de haine et d'exclusion, elle doit en finir avec
les attitudes et les discours de discrimination sociale ou raciale.
Refusant les diktats de l'ultra-libéralisme, elle doit devenir
plus solidaire. Pour ce faire, elle doit redonner tout son sens
à l'engagement citoyen et tout son poids au contrôle
citoyen.
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Expert-comptable, diplômé d'HEC, commandeur de
la Légion d'Honneur, conseiller municipal d'opposition depuis
1978.
Seul élu à avoir pris au sérieux la tâche
que lui a confiée le suffrage universel, il a entrepris une
opération d'assainissement des finances et des murs
politiques de la ville. Travaillant à la sauvegarde des intérêts
de tous, il a dénoncé sans relâche corrompus
et corrupteurs.
Tombeur de Jacques Médecin, sa tâche ne faisait que
commencer.
Dès 1981, il avait mis en garde les Niçoises et les
Niçois contre la mise en coupe réglée de la
ville par le groupe Vivendi (la distribution et la gestion de l'eau,
la collecte et le retraitement des ordures ménagères,
les parkings, les transports en commun, le BTP, la restauration,
les hôtels
).
En 2000, il a renouvelé sa mise en garde et demandé
que le contrat conclu avec l'ex-Compagnie des Eaux, aujourd'hui
Vivendi Environnement, soit immédiatement rompu.
Ainsi, Max Cavaglione a démontré que Vivendi, sur
le seul contrat de l'eau, avait détourné au préjudice
des Niçois, au fil des ans, la bagatelle d'un milliard de
francs grâce à des conventions parfaitement iniques.
Souvent très seul au conseil municipal dans sa dénonciation
de Vivendi (à croire que Vivendi ne dérange pas tout
le monde), il aura à coeur de poursuivre et de mener à
bien son combat pour la vérité et pour l'honnêteté.
Afin que Nice, notre ville, votre ville, retrouve une vie économique
et politique dans le respect des règles de la République.
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Danielle Deminatti
Orthophoniste, membre du
Mouvement des Citoyens, engagée dans des associations de
soutien aux personnes handicapées et aux personnes du troisième
âge.
Militante de terrain, proche des préoccupations
de ses concitoyens, Danielle Deminatti a été choisie
par le Mouvement des Citoyens pour être la première
de ses candidats.
Derrière Jean-Pierre Chevènement, le MDC uvre
pour que les citoyens retrouvent un contrôle de l'action politique
et dénonce les abus inacceptables commis au détriment
de l'intérêt général par les multinationales.
Il dénonce les dérives technocratiques, qu'elles soient
nationales ou européennes, qui viennent bouleverser la vie
du citoyen sans que celui-ci puisse avoir voix au chapitre.
Le MDC exprime la volonté que soient pris en compte les soucis
quotidiens de la population (droit du citoyen à la sécurité,
à un service public de proximité et de qualité,
à une politique de la ville plus solidaire).
Il préconise, par ailleurs, la nationalisation de la distribution
et de la gestion de l'eau et a déposé en 1997 un projet
de loi en ce sens.
Pour Danielle Deminatti, seul un retour aux
sources des thèmes fondateurs de la République redonnera
aux citoyens confiance dans l'action politique.
Soucieuse d'une rénovation de la démocratie locale,
souhaitant que les politiques publiques locales concourent au progrès
social, elle a toute sa place dans ce Rassemblement des Républicains.
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